Oligui, président de la poisse ? Le Gabon sous le signe du malheur depuis son arrivée ?

Depuis qu’il a pris les rênes du pays, Brice Oligui Nguema semble avoir ramené avec lui une série de malédictions sur le Gabon. On ne peut pas dire que tout se passe bien sous son règne, bien au contraire ! Entre coupures de courant incessantes, débâcles footballistiques, trains déraillés et taxis qui se percutent, le président ressemble de plus en plus à un véritable "porte-poisse" national.

@gabon_2025 Oligui, président de la poisse ? Le Gabon sous le signe du malheur depuis son arrivée … #nightmare #oligui #africa #tiktoknews #gabon🇬🇦 #libreville #president #gabon2025 #gabontiktok🇬🇦 #viral #fyp #briceoliguinguema #afrique #CAN #pantheresdugabon #taxi ♬ son original - GABON 2025

Coupures de courant : le retour à l'âge de pierre

Depuis plusieurs mois, les Gabonais vivent au rythme des délestages électriques, comme si le pays avait soudainement été catapulté dans une autre époque. Avec des coupures à répétition, l'électricité semble devenue une denrée rare, presque exotique. C'est le comble pour un pays doté de ressources naturelles abondantes ! La population en a assez, et à juste titre : comment peut-on espérer développer un pays quand les lumières s'éteignent au moindre coup de vent ?

La situation est critique et les délestages ne cessent de s’intensifier. Pour beaucoup, ces coupures de courant symbolisent l’incapacité du nouveau régime à gérer les affaires publiques. Les entreprises souffrent, les foyers s’organisent tant bien que mal, et tout le pays semble plongé dans une sorte d’apathie électrique qui reflète un immobilisme plus large.

Football : le Gabon humilié sur la scène internationale

Si le courant ne passe pas dans les foyers, il semble aussi coupé sur les terrains de foot. Autrefois fierté nationale avec des stars comme Aubameyang, l'équipe gabonaise semble elle aussi être victime de cette « poisse » présidentielle depuis quelques mois. Récemment, on notera un pathétique 0-0 contre le Lesotho et une raclée monumentale face au Maroc, 4-1. L’humiliation est totale, surtout pour un pays qui nourrissait tant d’espoirs dans son football.

On peut presque se demander si la malchance n’a pas frappé l’équipe nationale dès qu’Oligui a pris place au Palais du Bord de Mer. Le ballon rond semble devenu carré sous ses ordres, et l’équipe enchaîne les performances indigentes comme si elle était ensorcelée. Si cela continue, la CAN pourrait se transformer en un véritable cauchemar, un peu à l'image de la situation globale du pays.

Dérèglement des trains et taxis en folie

Comme si cela ne suffisait pas, sur le plan des transports, tout part aussi en sucette. Un train minier vient a déraillé hier, paralysant complètement le trafic ferroviaire du pays. Déjà que le Gabon n'est pas exactement une plaque tournante de l'industrie ferroviaire, alors voir un train quitter les rails en pleine exploitation minière est un symbole douloureux du chaos qui règne. D'après les rapports, l’accident a non seulement mis à l’arrêt la production, mais il symbolise l’inefficacité criante d’un système en bout de course.

Et ce n’est pas tout : à Libreville, les accidents de taxis se multiplient à une vitesse alarmante. Les journalistes soulignent la recrudescence des collisions entre taxis, transformant chaque trajet en une véritable course-poursuite au cœur de la capitale. Les routes, autrefois simplement chaotiques, sont devenues des arènes où règnent la peur et l’incertitude. À qui la faute ? La météo ? Le mauvais état des routes ? Ou bien... Oligui ?

Une série noire qui n’en finit pas

Au final, on ne peut que se poser la question : Brice Oligui est-il devenu le porte-malheur du Gabon ? Sous son leadership, le pays semble pris dans une spirale infernale, enchaînant catastrophe après catastrophe. Coupures de courant, débâcles sportives, déraillements de train, chaos dans les transports… Et tout cela, sans compter l’avenir économique incertain qui pend au nez du pays. Et comble de la poisse : les nouvelles semblent nous indiquer le retour d’une catastrophe non pas naturelle mais politique, le Parti Démocratique Gabonais. Ce typhon que l’on croyait éloigné se dirige selon les météorolo-politologues à grande vitesse vers Libreville. Comment rester sereins ? 

Alors, malchance ou incompétence ? Les Gabonais n’ont peut-être pas la réponse, mais une chose est sûre : tant que ces événements se succéderont, Oligui est, sans équivoque, le président de la poisse.